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Des classes pour les enfants du lac Baringo

Dernière mise à jour : 30 déc. 2020

Aidez-nous à reconstruire des classes d'écoles pour les enfants du Lac de Baringo au Kenya.


Après l'annonce de l'inexpliquée montée des eaux du Lac de Baringo qui a détruit notamment l'école, nous avons souhaité une nouvelle fois nous mobiliser pour cette région et ses enfants, qui nous tiennent tant à cœur !

Grâce à l'action locale de Tony Crocetta et Simon Chebon, c'est ici notre troisième intervention après notre action en faveur des Girafes de ROTHSCHILD - toutes les ventes de notre Portfolio Afrique ont été renversées sur place pour la sensibilisation et l'éducation des jeunes enfants à leur préservation - et notre soutien alimentaire cet été aux populations les plus démunies et touchées par la crise Covid-19 autour du lac déjà en crue.

Cette troisième phase de solidarité et d'urgence est certainement la plus ambitieuse et la plus importante aussi pour nous, puisqu'elle correspond à l'essence même de notre vocation : "Sensibiliser et éduquer pour protéger."


Nous allons donc redonner à 260 collégiens du Lac, quelques classes pour qu'ils reprennent le chemin de l'école ! Et nous profiterons de cette action pour ajouter de manière durable l'enseignement de l'écologie et la protection de la biodiversité locale aux programmes déjà existants, avec un de nos partenaires locaux guide et ornithologue.


Pour nous aider à agir et entamer la construction de ses nouvelles salles de classe, à l'abri des eaux, vous pouvez faire un simple don sur le site ou bien acheter un de nos nombreux tirages photographiques, disponibles en ligne.


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Quelques mot de Tony Crocetta, Président d'honneur de Troisième Planète et notre relais local pour cette action :

UNE NOUVELLE ECOLE A BARINGO


"Lorsque je rencontrais pour la première fois Simon autrefois à la barrière de péage du lac Baringo, cela doit faire 20 ans désormais, j’avais en face de moi un garçon particulièrement intelligent et qui parlait déjà français, un français pas encore aussi impeccable que celui qu’il manie avec virtuosité aujourd’hui. Simon Chebon devait ses connaissances à son travail, ses études et à l’école. Dans le village kenyan reculé de « Kampi ya Samaki », où l’on subit la pauvreté plus sévèrement qu’ailleurs, le père de Simon avait tout misé et sacrifié bien des choses sur l’éducation de son fils le plus prometteur.

Si mon partenaire et ami Simon est là où il en est aujourd’hui, il le doit à l’école !

L’école, chacun y a droit ! Elle donne sa chance à chaque enfant et lui laisse entrevoir la perspective d’une vie meilleure.


Mais aujourd’hui d’école il n’y a plus ! Le lac Baringo a vu ces dernières années son niveau monter, monter, jusqu’à inonder une très grande partie du village de naissance de Simon. De nombreuses habitations, des hôtels, l’infirmerie, des restaurants, des écoles ont été noyés, des centaines d’emplois sont perdus, l'économie est exsangue.


Pourquoi l’eau monte t-elle ainsi ? Nul ne sait vraiment. Les précipitations n’expliquent pas à elles seules la métamorphose de tous les lacs de la vallée du rift. Les scientifiques ont chacun leur théorie. Mais là n’est pas la question…

A l’initiative de Simon et de Marchais Arnaud Président de l’association Troisième planète, nous avons décidé que ce serait la moindre des choses que de redonner l’espoir à 260 gamins, des collégiens de 12 à 14 ans, privés de leur école.

Avec troisième planète nous mettons donc en place une collecte pour construire, sur des parties non inondées, quelques salles de classe. Il ne s’agit pas de reconstruire une école dans l'immédiat, mais des bâtiments en dur pour que les élèves puissent de nouveau étudier lorsque l’école rouvrira bientôt au Kenya (elles sont toujours fermées aujourd’hui pour cause de Covid). Simon avait d'ailleurs déjà anticipé les choses en achetant trois tentes, mieux que rien... mais elles ne font qu'un peu plus de 5 mètres carrés chacune.

Il s’agira de grands bâtiments, juste le gros œuvre, des murs, fenêtres, toits et aménagement de la salle, qui pourront accueillir chacun 40 ou 50 élèves. Il faut compter un peu moins de 1 200 000 Shillings, soit approximativement 10000 € pour réaliser la construction d’une salle de classe.

Ce projet sera complété par une formation spécifique d'éducation à l’environnement animée par Kangor Titus, Arnaud y reviendra en détail, et, plus tard, je m’en occuperai personnellement, avec la possibilité pour les safaristes que j'accompagne de parrainer un enfant, pour un an ou davantage, le temps de sa scolarité (cela ne coûte que quelques dérisoires dizaines d’Euros), les écoles ne sont pas gratuites au Kenya.

Pour l'heure je vous laisse agir à votre façon avec l’association Troisième planète et Simon Chebon. Je partagerais le lancement officiel du projet sur mes pages. J’espère pouvoir compter sur ceux qui un jour où l’autre se sont rendus au Kenya ou s’y rendront prochainement. Je sais, pour l'avoir préalablement évoqué déjà, que beaucoup sont d'ores et déjà prêts.

A bientôt pour la suite…"


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